Webinaire : Diplômé en période de crise

L'année 2020 a impacté le monde à bien des égards. À notre échelle, nous essayons au travers de témoignages de répondre aux interrogations, craintes et doutes des élèves qui sortiront diplômés durant cette période de crise sanitaire.

Ainsi, des Alumni des promos 2008, 2009 et 2010 se sont portés volontaires pour témoigner de leur expérience personnelle et professionnelle vis à vis de la crise économique de 2008.

Au vu de l'engouement du réseau envers les élèves actuels, nous avons décidé d'organiser un webinaire durant lequel les questions pourront être posées en direct !  💻 

Ainsi, afin de préparer au mieux cet événement, nous proposons aux élèves actuels, toutes promotions confondues, de s'inscrire à cet événement qui aura lieu :

Le 15 Octobre prochain de 11h à 12h.

Vous aurez peut-être fait le lien, cet événement s'ancre (logiquement) au sein du Forum Entreprise. Cette journée sera donc axée "Projet Pro" et, nous espérons, sera révélera précieuse pour les élèves. 

Evidemment, les diplômés sont également les bienvenus si ils souhaitent participer au webinaire que ce soit en tant que spectateur ou bien même comme intervenant. 

⬇️  À noter que vous pouvez retrouver tous les témoignages "diplômés en période de crise" ci-dessous : ⬇️ 

Sylvain DOVE (p2008) "Je pense qu'il faut savoir adapter son parcours"

Aurélien CODET DE BOISSE (p2008) "fin de crise ou non, je créerai ma boite"

Sylvain JAOUEN (p2008) "Dans un tel contexte, la valeur d'un jeune diplômé n'en est qu’augmentée"

Mathieu ANTIER (p2008) "Nos équipes ont d’ailleurs été davantage sollicitées pendant le confinement"

Paul THÉRY (p2008) "recentrez-vous sur vos envies, vos souhaits, vos rêves et réalisez-les sans vous préoccuper de « la crise »"

Anne-Laure ROUFFIÉ (p2010) "Le secteur aéronautique dans lequel je travaille aujourd'hui est très impacté par la crise sanitaire"

Céline Galland (p2008) "La vie professionnelle, c’est sport… mais ce n’est pas un sprint, c’est un marathon !"

Hélène Dumas (p2010) "J’ai pris conscience que les places attractives sur le marché du travail étaient limitées et qu’il fallait «se battre »"